dans la chair
des mots
qui annule le vide,
les vieux murs
j’aime l’odeur
de l’humus sous
les feuillages
de septembre et
ton regard nomade
(le vent souffle
toujours de l’ouest)
tes doigts griffonnent
le parcours anonyme
des nuages
ce qu’il nous reste c’est notre regard qui cherche la sauvage symétrie des nuages / what's left is our gaze that seeks the wild symmetry of the clouds