entre la rosée et la nuit, nos rêves ont tissé le langage indomptable des feuilles au-dessus de nos têtes les cris des heures commencent avec l'existence du poème
je ne crois pas que vous le sachiez mais je passe mon temps à tournoyer dans les troncs et le rouge de l’été
presque en riant, même un arbre resterait (cerf-volant) lié à la ligne d'horizon
sinon il me demandait du corps, des racines et de l'eau